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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 15:56

Le mémoire porte sur la femme dont le partenaire souffre de troubles de l’érection de nature psychogène.

 

Un homme sur cinq en moyenne présente un problème d’impuissance au cours de sa vie sexuelle. L’impuissance, c’est l’incapacité pour un homme soit de présenter une érection assez bonne, soit de maintenir une érection suffisamment longtemps pour compléter l’acte sexuel. Il importe que cette incapacité persiste, se répète constamment et dure depuis une période d’au moins trois mois.

 L’origine de la dysérection peut être organique et/ou psychologique. L’organicité de ces troubles va rassurer la femme qui ne se sent pas ainsi impliquée dans l’installation du trouble érectile. En revanche, lorsque la dysérection est de nature psychogène, la femme a tendance à l’interpréter comme un manque de désir de la part de son partenaire à son égard. En effet, dans le sens commun, l’érection symbolise, entre autres, le désir que l’homme porte à sa partenaire.

Si l’érection est également la représentation de la virilité chez l’homme, la dysérection correspond à une blessure narcissique qui atteint son identité d’homme. Par ailleurs, la dysérection n’ayant aucune origine organique ou aucune origine à son maintien peut cacher des difficultés chez l’homme au niveau psychologique. Un homme déstabilisé par différentes causes (surmenage professionnel, maladie) et ne trouvant pas de moyen pour s’exprimer à travers le langage, va alors manifester ses angoisses à travers son corps.

En fonction de certaines données telles que la valeur émotionnelle accordée aux évènements de la vie quotidienne et récents, les mécanismes de défense et le soutien social, ici, la partenaire, le vécu des troubles par l’homme reste lié aux capacités d’adaptation et de compréhension de la partenaire.

 A ce propos, le choix de la partie du corps à partir de laquelle le sujet va exprimer ses angoisses inconscientes n’est pas innocent. Ce choix touche directement à la sexualité du sujet et donc à son rapport à sa partenaire. Le sexe serait alors le support des angoisses du sujet et prendrait un rôle de médiateur pour exprimer à sa conjointe ce qu’il ne parviendrait pas ou ne pourrait pas dire sur un mode langagier.

Ainsi, si l’homme ne parvient pas à canaliser ses conflits inconscients sur un autre mode que sur celui de son corps, il est possible de parler de somatisation. Le phénomène de somatisation est en corrélation négative avec la projection. Il s’agit d’une élaboration qui renvoie simultanément aux fonctions relationnelles et au refoulement caractériel portant sur la fonction de l’imaginaire. Donc, l’homme impuissant aurait tendance à projeter sur ses parties génitales une tension qu’il ne peut pas accepter pour sa personne, c’est-à-dire pour son équilibre psychique, ceci lui permettant de méconnaître ce qui le rend fragile. Par ailleurs, la fonction relationnelle étant au centre de ses conflits, le choix inconscient de somatiser sur les organes génitaux serait bien un moyen de lancer un message latent à la partenaire et de lui adresser une demande.

L’impuissance se présente donc comme un symptôme puisqu’elle est souvent là comme moyen de défense pour neutraliser un conflit inconscient. Il devient important de l’envisager autrement qu’une panne mécanique et d’essayer de comprendre l’origine psychologique de ce dysfonctionnement sexuel en le resituant dans la relation à l’autre. En effet, il devient intéressant de nous interroger sur la manière dont la femme de l’homme impuissant entend la demande inconsciente de son partenaire et sur la manière dont elle va l’aborder dans la mesure où cette approche permettra de prendre en compte la dimension globale de l’homme malade qui lui redonnera la « prime narcissique » et évitera qu’il ne s’isole au sein du couple.

Or, pour appréhender la dimension globale des troubles de l’érection, il faut tout d’abord prendre en considération l’aspect psychologique de la sexualité. Celle-ci représente l’échange amoureux entre deux individus. Elle est avant tout un rapport à l’autre où le sentiment, l’amour devient manifeste.

Puis, il faut considérer la femme d’un point de vue psychologique. Selon Hélène Deutsch, l’une des conséquences de la vie intérieure de la femme est son érotisme particulier. Cet érotisme féminin se définit à partir de deux conditions. Tout d’abord, la condition masochiste c’est-à-dire que la femme doit sentir que son homme lutte pour que sa défaite à elle soit meilleure. Ensuite, la condition narcissique, à savoir que cette lutte déploie le désir de l’homme tant satisfaisant pour la femme. La psychologie de la femme consiste alors à s’identifier à l’homme de manière à favoriser le bonheur des deux partenaires.

 Or, quand l’homme présente des troubles visibles comme ceux de l’érection, la femme le percevrait comme une absence de désir pour elle et donc comme un manque de retour narcissique nécessaire à son épanouissement comme le montre la synthèse de l’analyse du mémoire.

En effet, à la vue des résultats trouvés dans ce travail de recherche, trois profils de femmes se dégagent :

  • La femme fondamentalement solide au niveau narcissique.
  • La femme psychologiquement fragile chez laquelle les troubles de l’érection renforcent l’atteinte narcissique.
  • La femme psychologiquement fragile chez laquelle les troubles de l’érection viennent  réparer une partie de la blessure narcissique sans pour autant que la réparation ne couvre toute la blessure car celle-ci est trop profonde.

 Il serait donc intéressant pour le clinicien d’évaluer la psychologie de chacun : celle de l’homme mais aussi celle de la femme. En effet, à travers cette conception de l’interaction, il devient important de relativiser et de redéfinir la responsabilité individuelle de chacun sur les troubles de l’érection et donc de prendre en compte l’anamnèse des deux partenaires. L’intérêt pour le clinicien serait alors de comprendre les notions d’actions réciproques et d’interdépendance mais aussi les fantasmes et représentations de chacun afin d’adapter au mieux le traitement.

Chez toutes ces femmes fragiles au niveau narcissique, la représentation de la sexualité est limitée à la pénétration. De plus, selon Rosolato, si l’on schématise l’amour, il aspire à la réciproque de la demande, à l’échange et au partage. Mais sa quête vise en réalité le plaisir charnel qui est représenté pour ces femmes par la pénétration. La sexualité constitue alors un moyen pour la femme d’avoir des preuves d’amour de la part de son partenaire. De ce fait, les troubles érectiles montreraient une frustration, non pas uniquement sexuelle mais aussi de ne pas se sentir visible aux yeux du partenaire. En effet, Dolto nous dit que la femme peut se faire à l’idée d’une frustration orgasmique mais pas à celle d’une frustration d’amour. Les manifestations d’amour du partenaire seraient ainsi perçues en fonction de la réalité psychique de la femme. La frustration, qui s’exprime, ici, par la sexualité, reflèterait chez ces femmes fragiles sur le plan narcissique en fait une angoisse de n’être plus la femme que le partenaire aime. Il s’agirait alors d’une peur de perdre cette partie du Moi identifiée aux désirs de l’homme.

 Cette frustration d’amour, comme un cercle vicieux, entraînerait un renforcement des facteurs psychologiques de la dysérection. En effet, la frustration, étant l’expression d’angoisses diverses mais toujours liées à l’intimité, la femme s’en défendrait et maintiendrait sans le vouloir les troubles. Ces troubles seraient arrivées à un moment de sa vie où elle ne pourrait plus gérer ses propres angoisses liées à son intimité et à son identité de femme. L’angoisse de cette femme serait donc déplacée sur les troubles du partenaire, cette opération lui permettant de se masquer sa propre fragilité.

Au niveau topique, le narcissisme  déjà faible ne peut plus maintenir la cohésion du Moi. Et, le maintien des troubles érectiles correspondrait à un acte manqué, à un appel du MOI, pour montrer que le sujet ne peut plus faire face aux exigences de la réalité, du surmoi et aux revendications du ça. La dysérection permettrait donc à ces femmes d’opérer une économie psychique.

 Les troubles sexuels seraient donc devenus le reflet des difficultés de la femme comme un moyen de défense contre l’angoisse liée à des conflits inconscient de l’ordre de l’intimité et de la relation.

Ils peuvent même devenir le symptôme prévalent de certaines femmes comme l’une d’elles qui a pris comme choix d’objet d’amour un homme d’emblée marqué par une impuissance émotionnelle chronique. Cette femme choisit inconsciemment un objet d’amour qui va lui servir de symptôme afin de conserver son intégrité psychique en ne se confrontant pas à ses propres angoisses de rapprochement.

 Si toutes ces femmes fragiles sont touchées par une angoisse de rapprochement, il serait intéressant de se pencher sur la notion d’intimité. Selon Cramer et Knauer, la construction de l’intimité se situe dans la relation entre la mère et le nourrisson. L’intimité intervient ici sur deux axes :

L’intimité corporelle où la présence physique de la mère et de ses soins au bébé tient compte des demandes du bébé et de ses besoins somatiques fondamentaux.

L’intimité affective qui va offrir au bébé un contenant psychique, une compréhension de ses mouvements pulsionnels et affectifs, permettant ainsi au nouveau-né de mieux se définir dans un environnement sécurisant.

 Ainsi, les interactions affectives de la mère à l’enfant sont très importantes car elles vont déterminer l’équilibre affectif et la notion d’intimité du futur adulte. La mère va établir de manière consciente ou inconsciente ce qui est permis ou non au niveau de l’intimité, c’est-à-dire au niveau du rapprochement mutuel comme code de conduite qui va perdurer toute la vie de ce nourrisson.

Il semble donc nécessaire de remonter dans la petite enfance de ces femmes fragiles pour comprendre le lien qui les unit à leurs mères et pour connaître leur intégration de l’intimité. Le désir inconscient de maintenir les troubles de l’érection des partenaires serait alors le reflet d’une insécurité de base chez la femme dont l’origine se situerait dans la petite enfance.

Ainsi, ces femmes fragiles seraient prises dans des angoisses liées à l’intimité parce que celles-ci n’auraient pas été élaborées dans la petite enfance. Elles seraient parvenues à s’adapter en se défendant soit en sublimant dans le travail, soit en ayant pris comme choix d’objet d’amour un partenaire qui ne les confrontait pas à leurs angoisses. Cependant, des facteurs externes tels que le départ en retraite, l’indépendance de l’enfant, la ménopause seraient venus réactiver les angoisses intrinsèques et donc déstabiliser la structure défensive de ces femmes qui se trouveraient alors démunies face à leurs propres angoisses. Les troubles de l’érection seraient donc apparus à un moment où elles ne peuvent plus cacher leurs angoisses, où elles trouveraient le temps de réaménager un nouveau fonctionnement psychique.

 

Par conséquent, les troubles de l’érection permettraient aux femmes de masquer une fragilité intrinsèque et une insécurité de base. Les troubles seraient propices à la mise à distance de l’angoisse ressentie par ces femmes. Aussi, ces femmes fragiles au niveau narcissique investiraient-elles de façon durable les troubles du partenaire en résonance à leur psychologie.

Afin de pallier le défaut de cette sécurité de base qui semble être à l’origine du maintien des troubles de l’érection du partenaire, différentes techniques thérapeutiques sont envisageables :

  • La thérapie d’inspiration analytique car elle permettrait de remonter à la petite enfance et d’élaborer les représentations refoulées ou détachées des affects.
  • La thérapie d’inspiration cognitive : En matière d’inhibition amoureuse, les cognitivistes considèrent le trouble comme la conséquence de perceptions distordues. Selon eux, à force de fuir la situation anxiogène, ici, l’intimité dans le couple, les femmes n’ont pas pu développer et entraîner leurs compétences. Le but d’une telle thérapie serait :
  • La restructuration cognitive, à savoir rechercher toujours une bonne explication à ce qui se passe, lutter contre ses peurs, écouter les conseils de personnes bienveillantes et plus expérimentées.
  • La vérification dans la réalité que l’intimité est permise et que le rapprochement intime n’engendre pas de rejet ni de douleur ingérable.
  • La disparition progressive de l’angoisse au profit d’un lâcher-prise offrant un épanouissement nouveau à la femme.

 Ainsi, l’une ou l’autre de ces techniques thérapeutiques pourrait permettre à la femme d’acquérir une nouvelle sécurité de base et d’oser rentrer en contact avec le partenaire sans craindre un auto jugement trop violent pour elle-même.

 Et enfin, une rééducation sexuelle, telle qu’elle est effectuée par les sexologue, devrait permettre aux femmes de réaliser que la sexualité est riche et qu’elle n’est pas que symbole de procréation

Cependant, ces techniques thérapeutiques ne suffiraient pas seules à aider l’homme à soigner ces troubles de l’érection. En effet, même si la femme se découvre et commence à s’aimer, le partenaire doit lui aussi se reconnaître une identité d’homme, et ceci, afin de ne pas créer une autre distance entre eux du fait d’un niveau de progression différent dans la connaissance de soi. La visée globaliste prend ici toute son importance et il est désormais nécessaire de prendre en compte la notion de couple.

 En effet, tous les questionnaires des femmes fragiles nous montrent des difficultés au niveau conjugal. Des problèmes narcissiques se rencontrent également au niveau du couple. Les troubles de l’érection seraient le symptôme du couple, rendant visibles les difficultés de communication ou de liens entre les deux conjoints. Normalement, un couple équilibre les investissements narcissiques et ceux libidinaux d’objet. Le narcissisme tend à unir, niant les limites entre les individus et empiétant sur l’espace individuel de chacun. Or, dans chacun de ces couples fragiles, nous constatons que les liens narcissiques biaisent les liens libidinaux. Ainsi ces couples deviennent des couples très fusionnels où les partenaires s’ignorent. En effet, les liens narcissiques produisent normalement des affects plaisants, essentiellement rassurant et contenant mais leurs prévalences, ici, produisent déplaisir et souffrance. Dès lors, les membres du couple fusionnel tentent de retrouver une place, une identité individuelle pour briser la fusion rendant alors la relation douloureuse. Les troubles de l’érection seraient intervenus alors pour permettre aux protagonistes du couple de retrouver un peu plus de considération.

 Afin de pallier la somatisation des difficultés sur le contact intime visible du couple, c’est-à-dire sur la sexualité, il serait donc intéressant de travailler au niveau thérapeutique sur la notion de couple. En effet, une thérapie psychanalytique du couple permettrait :

De tenter de diminuer la part du narcissisme au service de l’empiétement chez chaque partenaire en conflit, pour laisser s’instaurer un nouvel équilibre entre les liens narcissiques et les liens libidinaux d’objets. Ainsi, la thérapie permettrait de réduire les identifications projectives utilisées par les uns et les autres en les transformant par une élaboration à la parole.

 Bien que la suppression des conflits soit utopiques, le processus thérapeutique chercherait à atténuer la souffrance, l’épuisement, le désespoir des conjoints liés au conflit comme tout un aspect déstructurant de l’intégrité personnelle, conséquence fâcheuse de la confrontation.

Et enfin, de faire prendre conscience aux conjoints de l’organisateur inconscient du couple, comme le choix d’objet, la découverte des objets fondateurs du couple, l’organisation « soïque », l’histoire du lien et les objets transgénérationnels.

De plus, la prise de conscience sur ses propres difficultés et toute découverte sur l’histoire partagée du couple retentiraient sur le psychisme individuel lequel sortirait éventuellement plus construit, mieux défini. Ainsi, la fusion conjugale serait remise en question et la conséquence serait de restituer à chacun ce qui lui revient et de permettre à l’autre au fur et à mesure de la thérapie de redevenir un simple objet d’amour au lieu d’être le porteur du symptôme.

 Cependant, la femme reste un facteur important pour la résolution des troubles érectiles. En effet, les troubles de l’érection seraient le reflet d’une fragilité sur le plan narcissique chez la femme, qu’il soit présent de manière transitoire afin de permettre des réaménagements psychiques, ou qu’il soit permanent lié à un bénéfice d’autoconservation. La femme projetterait ainsi ses difficultés narcissiques et de l’ordre de la relation sur le corps de son partenaire.

 Dans la lignée de cette recherche, nous pouvons donc envisager qu’un suivi thérapeutique ponctuel ou continu de ces femmes permettrait d’améliorer la condition érectile de leur partenaire. L’amélioration narcissique de la femme, mais aussi l’évolution positive de sa capacité à aimer et à être aimée lui permettrait de considérer les troubles de l’érection de son partenaire comme une étape maturante au niveau de la relation et d’elle-même.

De plus, la sexologie, bien qu’étant une pratique indispensable aux traitements des troubles de l’érection et des difficultés conjugales, ne peut pas seule répondre aux obstacles que présente la psychologie individuelle et conjugale. Mais, une intégration de la pratique psychothérapeutique aux traitements sexologiques faciliterait le traitement des femmes et donc des hommes, si eux-mêmes ne présentent pas aussi une fragilité profonde.

 Par ailleurs, bien qu’il existe déjà, depuis deux ans, de manière très ponctuelle et au bon vouloir de l’institution scolaire, des enseignements sur la sexualité, ceux-ci n’ont lieu que pendant deux heures sur toute une scolarité. Il serait donc intéressant de développer ces enseignements à toutes les institutions scolaires comme un programme obligatoire. Cet enseignement devrait pouvoir expliquer aux jeunes adultes la sexualité au niveau de son fonctionnement et de ses conséquences, mais aussi l’impact émotionnel qu’elle entraîne, l’érotisme, le plaisir, le langage du corps et enfin des données sur le couple, l’amour et le désir. Une meilleure connaissance de la sexualité permettrait tout d’abord une déculpabilisation de la sexualité au sens large et donc une meilleure adaptation des individus à la découverte de leurs corps et à leurs émotions. Cela pourrait constituer un cadre préventif des difficultés sexuelles et également des difficultés psychologiques à venir.

 En conclusion, afin de faciliter la résolution thérapeutique des troubles de l’érection, il est nécessaire de prendre en compte la dimension globale des troubles érectiles, à la fois l’homme et son identité d’homme viril, la femme et ses difficultés narcissique et ses angoisses de rapprochement qui viendraient renforcer les facteurs psychogènes de la dysérection et enfin la notion de couple pour permettre un meilleur équilibre entre les liens narcissiques et ceux libidinaux. Le narcissisme semble donc être au centre des problèmes érectiles.

Bien que nous ayons rencontré des difficultés d’ordre méthodologique telle que un nombre limité de femmes, le choix de ne pas interférer dans la thérapie conjugale en cours et donc de ne pas rencontrer ces femmes, la recherche nous a permis d’aborder des notions importantes pour une meilleure compréhension des troubles érectiles et surtout la manière dont les femmes vont les vivre. Compte tenu de ces données, la recherche demanderait d’autres développements dans le cadre d’un D.E.S.S qui rendrait généralisable les résultats de ce travail. Néanmoins, l’échantillon du mémoire nous a déjà permis d’approfondir des notions telles que l’intimité, l’interaction, l’action réciproque et l’interdépendance ainsi que d’envisager d’autres approches thérapeutiques.

 

Elodie CINGAL, psychothérapeute

 www.psy-conseil-divorce.com 

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